1. |
Vida Loca
03:47
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VIDA LOCA
Strasbourg Mexico, la connexion…
Un nouveau son, un nouveau rythme
Pour de nouveaux hymnes pour de nouvelles cibles
Un concept un constat un premier pas
Vers un autre avenir, vers un autre futur
Le même fond sur une nouvelle forme,
La même rage pour ouvrir les mêmes cages
Des solitaires toujours solidaires
Des chiens enragés sans laisses ni colliers
Des poings, des poings vers les étoiles
Des regards tournés vers l’avenir…
Vida loca, esperando la esparanza
(Vie folle, en attendant l'espoir)
Des poings, des poings vers les étoiles
Des regards tournés vers l’avenir…
Vida loca, no te pares y avanza.
(Vie folle, ne t'arrête pas et avance)
Mi vida loca de vagabundeo,
Sin techo ni amarras, no somos reos.
Mira el futuro, es tuyo es mío.
Ven con nosotros, yo en ti creo.
(Ma vie folle et d'errance, sans toit ni amarres
nous ne sommes pas des prisonniers
regarde le futur, il est à toi, il est à moi
viens avec nous je crois en toi)
On laisse pas béton, on relève le menton
Tant de choses à dire et tant de choses à redire
Nos idées ne tournent pas en rond comme un vinyle et son sillon
On avance dans l’ombre en nombre
En musique sans silence avec élégance
Comme des soldats sans arme, pour que le peuple sèche ses larmes
C’est ici et maintenant
Tout se vit dans l’instant présent
Pour que justice soit faite, pour n’avoir plus peur de la défaite
Pour que tu craches sur ta télé, pour que tu te bouges de ton canapé
Pour que tu puisses voyager, pour que tu puisses espérer
Des poings, des poings vers les étoiles
Des regards tournés vers l’avenir…
Vida loca, esperando la esparanza
(Vie folle, en attendant l'espoir)
Des poings, des poings vers les étoiles
Des regards tournés vers l’avenir…
Vida loca, no te pares y avanza.
(Vie folle, ne t'arrêtes pas et avance)
Una vida loca, sin leyes ni barreras.
Dime hermano, si eso te choca.
Somos las sombras, los irreductibles,
Que no desvanecen, que no desaparecen.
Vamos con los puños hacia las estrellas y
la mirada al futuro. Siempre firmes.
(Une vie folle sans lois ni barrières, dis-moi mon frère si cela te choque
nous sommes les ombres les irréductibles qui ne dissipent pas, qui ne disparaissent pas
Nous allons le poing vers les étoiles et le regard vers le futur
Toujours forts)
Strasbourg - Mexico : La connexion!
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2. |
Lost in my way
03:13
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LOST IN MY WAY
Tu vas encore traîner tard ce soir
Là où les cœurs sont en miettes
Là où la vie a laissée des dettes,
Où l’espoir a prit le large
Tu picoles et tu r’picoles
Est-ce que la vie aura un rôle
Mais toi tu seras fracas,
tu en veux à ta carcasse
LOST IN MY WAY - LOST IN MY WAY
LOST IN MY WAY - LOST IN MY WAY
Sur ta gueule fatiguée,
les marques du temps écoulé
Celui où t’avais un sourire,
t’avais des rêves et des désirs
Dans ce bar tu t’es arrêté,
là où d’autres sont partis s’aimer
Ton regard et tes yeux se vident
quand l’amour n’est plus de mise
LOST IN MY WAY - LOST IN MY WAY
LOST IN MY WAY - LOST IN MY WAY
Il est bien tard au comptoir, Rue du cafard
Dans ton verre tu t’es noyé, ton âme a brûlée
Il est bien tôt pour toi gamin pour ne plus croire en rien
Ne plus aimer et renoncer, et être déjà écorché
LOST IN MY WAY - LOST IN MY WAY
LOST IN MY WAY - LOST IN MY WAY
Save my soul!
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3. |
Marche ou Crève
03:52
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MARCHE OU CREVE
Les lendemains qui déchantent, assez de vivre dans l’urgence
Le monde est-il si sourd, quand toi tu appelles à l’aide ! Au secours !
Les lendemains sans lendemains parce que tes poches sont vides
Comme ton regard sombre tu n’es même plus l’ombre d’un nombre
Les lendemains sans rien dans les mains, l’école c’est bien loin
Le travail sans début, sans fin, et toi toujours certain d’avoir rien
Les lendemains sans espoir à te retourner dans le noir
A faire les cent pas et les cent pas sur une route ou tu n’comptes pas !
Marche ou crève, ici c’est sans trêve !
Marche ou crève, pas d’place pour tes rêves !
Les lendemains et le désespoir, parce qu’il te reste que ça
Que t’as grandi avec cette loi qui dit qu’tu resteras toujours en bas
Les lendemains dans une cellule le soir tu regardes la lune
Isolé, privé de liberté dans ta tête continueras-tu à t’échapper ?
Les lendemains en psychiatrie pour que tu sois soumis
Neuroleptiques, camisole chimique, comme des coups de triques
Les lendemains d’un toxico qu’a plus la gueule d’un héros
Tout l’monde t’a laissé tomber depuis qu’t’es fatigué et usé !
Marche ou crève, ici c’est sans trêve !
Marche ou crève, pas d’place pour tes rêves !
Les lendemains quand t’es partie… Nous deux, c’était pour la vie !
Anéanti en un éclair tu restes seul en enfer
Les lendemains sans sourires, ta triste gueule devant la glace
Tu es est bien seul à porter je ne sais quel deuil
Les lendemains et les gueules de bois hier soir t’étais un peu le roi
Dans cet océan loin des requins, sans penser à rien, sans penser à demain !
Les lendemains d’un mois de mai et l’odeur de son muguet
L’espérance puisse-t-elle ressusciter pour de meilleurs lendemains à partager !
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4. |
Hip-Hop Reggae
03:26
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HIP-HOP REGGAE
Rude Boys - Rude Girls...
Enfants des cités à jamais, Punk-Rockers pour l’éternité
Les rudes boys de l’univers n’ont pas de frontière
Du Punk-Rock, à la Oï, au Ska, du Hip-Hop au Reggae
Les mêmes poings levés, les mêmes pavés
Rude boys Rude Girls Hip-Hop Reggae
Rude boys Rude Girls Hip-Hop Reggae
Rude boys Rude Girls Hip-Hop Reggae
Rude boys Rude Girls Hip-Hop Reggae
Les mêmes barricades, les mêmes contrôles
Ennemis de l’ordre, attendant une nouvelle aube
La rue est à nous, la nuit c’est là qu’on vit
Le Hip-Hop est ton domaine, le Punk-Rock a la même haine
Rude boys Rude Girls Hip-Hop Reggae
Rude boys Rude Girls Hip-Hop Reggae
Rude boys Rude Girls Hip-Hop Reggae
Rude boys Rude Girls Hip-Hop Reggae
Et toi là-bas, et moi ici, c’est le même son d’la révolution
On a les frères en prison, on combat les mêmes bouffons
C’est les mêmes sourires édentés, les mêmes cages d’escalier taguées
Les mêmes ailes brisées, les mêmes murs à casser
Rude boys Rude Girls Hip-Hop Reggae
Rude boys Rude Girls Hip-Hop Reggae
Rude boys Rude Girls Hip-Hop Reggae
Rude boys Rude Girls Hip-Hop Reggae
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5. |
Vois-tu?
03:21
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VOIS-TU ?
Vois-tu passer ces fous, ces enfants de la pluie
Qui n’ont qu’le ciel de la nuit, qui s’en foutent du paradis
Partis un soir de tempête laissant leurs défaites
Soif de paysages la solitude en marge
Le cœur à marrée basse, loin de la masse
La tête dans les nuages toujours en voyage
Nos horizons nos passions, nos trahisons
Sans maison sans destination sans nation
Je viendrai te chercher
Si tu veux t’échapper
Sur un autre chemin
Attends moi rue du destin
Je viendrai te chercher
Si tu veux t’échapper
Les promesses de demain
Les étoiles dans la main
Vois-tu ces gens qui ne font que passer
Les mains qui tremblent à l’idée d’être prisonnier
Loin d’la fourmilière d’une vie de galère
Le temps passé dans les artères
Et les souvenirs au fond des yeux de la mer
Les tempêtes, les regrets, il n’y a plus rien
Qu’une silhouette sous un ciel étoilé
La mélancolie qui revient chaque soir au coin du lit
Pour d’autres espoirs pour d’autres désespoirs
Est-ce l’heure de partir et de n’jamais revenir
J’ai ton verre de main dans la main qui t’attend pour de meilleurs lendemains
Puisqu’il faut fuir et finir de subir assez de souffrir
Au loin ton joli sourire
Venu le temps des adieux retrouver la foi
Ces promesses laissées un soir derrière soi !
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6. |
Le son des bas fonds
04:33
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LE SON DES BAS-FONDS
Nous n’avons pas le temps d’attendre, tout est toujours dans l’urgence
De l’action sans réfléchir, avant d’partir et d’en finir
On est pas là pour gagner, on est pas là pour se résigner
Nous n’avons plus rien à perdre, Tout est au fond de nos yeux
Nous avancerons ensemble, Puisqu’on se ressemble
Je gueule, tu me réponds, Sur le son des bas-fonds
On vit de rien, alors monte le son pour les tiens !
Toujours prêt à tout casser comme des bêtes enragées
Tout détruire pour reconstruire, dans nos rêves je lis l’avenir
Quoi qu’on fasse quoi qu’il advienne, on brisera toujours nos chaînes
Nous avancerons ensemble, Puisqu’on se ressemble
Je gueule, tu me réponds, Sur le son des bas-fonds
Notre son est dans la place, quand l’espérance refait surface
Dans un monde désastreux, en sortirons-nous tous glorieux ?
Un pour tous et tous pour un, comme les 5 doigts de la main
Nous prendrons ce qu’il y a de bon, Monte ce son le son des bas-fonds
Nous avancerons ensemble, Puisqu’on se ressemble
Je gueule, tu me réponds, Sur le son des bas-fonds
Nous avancerons ensemble, Puisqu’on se ressemble
Je gueule, tu me réponds, Sur le son des bas-fonds
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7. |
Sempre
03:42
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SEMPRE
Donne-moi encore un jour pour rimer avec toujours
Donne-moi encore un sourire si je n’ai plus rien à te dire
Donne-moi encore une révolution pour écrire des luttes et des saisons
Donne-moi encore un frangin j’ai encore un peu de vin
SEMPRE LA LIBERTA
Donne-moi encore Joe Strummer sur un disque juste une heure
Donne-moi encore l’espoir et mon ami le désespoir
Donne-moi encore les mots, la mélancolie que je porte sur mon dos
Donne-moi encore tes menottes si tu crois qu’la vie est sans fausses notes
SEMPRE LA LIBERTA
Donne-moi encore un regard pour toi il n’est jamais trop tard
Donne-moi encore ton amitié, on aura jamais aucun métier
Donne-moi encore un quartier, une cage d’escalier à tagger
Donne-moi encore la rage, la sagesse d’être en marge
SEMPRE LA LIBERTA
Donne-moi encore un refuge où il n’y a pas de juge
Donne-moi encore des chemins, l’horizon d’un destin entre les mains
Donne-moi encore la lune, et garde toute ta thune
Donne-moi encore une chanson pour que ma vie soit moins con
SEMPRE LA LIBERTA
…
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8. |
Nos coeurs saignent
04:27
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NOS CŒURS SAIGNENT
Un son lourd pour mes gens
Un poing levé pour ma classe
Notre sang coule pour mon camp
Notre haine brûle et t’embrase
Nos cœurs saignent
De rage et de déception
Entre l’enclume et le marteau
Défaite comme seul horizon
Défaite comme seul horizon !
Pour ma classe, par ma classe, avec classe, guerre de classe !
L’empire qui règne sur nos vies
Nous pousse à la folie
Nous irons au paradis
Car l’enfer est ici
Nos cœurs saignent
Loin des images des feuilletons
Pour nous les coups de matraque
Les coups du sort et les coup d’putes
Les coups du sort et les coup d’putes !
Tremble bourgeois dans ton lit
Car ma classe s’éveille et crie
Les voyous les bandits
Vont accomplir leur vengeance
Nos cœurs saignent
Du passé faisons table rase
On va brûler tous les palaces
On va bâtir des jardins
Là où il y avait des dépotoirs
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9. |
Comme le vent
02:47
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COMME LE VENT
Prends du vin pour la nuit
Et partons à contre-sens
Remplis encore mon verre
Entre le feu et les cendres
Suivras-tu mon ombre quand je m’égare
Quand je traîne tard le soir au bistrot du cafard
Suivras-tu mon ombre quand je m’égare
Quand je traîne tard le soir au bistrot du cafard
Rejoins-moi sur le chemin
Sans penser à demain
La route étoilée des oubliés
L’ivresse de nos soirées
Profitons d’l’instant présent comme des joyeux perdants
Arrêter le temps qui s’envole comme le vent
Profitons d’l’instant présent comme des joyeux perdants
Arrêter le temps qui s’envole comme le vent
Devant ma bière,
Accoudé à mon comptoir
Buvons jusqu’à très tard
Réinventons chaque soir l’histoire
Trinquons comme des marins qui s’moquent du lendemain
Libres pour un instant déjà heureux vers d’autres cieux
Trinquons comme des marins qui s’moquent du lendemain
Libres pour un instant déjà heureux vers d’autres cieux
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10. |
Ils ont tué mes rêves
03:19
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Ils Ont Tué Mes Rêves
Croire que tout dure que rien ne s’efface
Pourquoi tant d’entêtement face à de faux serments
Il se peut il se pourrait / Putain je suis mal barré
Prends tes jambes à ton cou cache toi tout là-bas !
Efface ta mémoire et efface tes pas
Marche tout seul et laisse-leur le deuil
Te retourne pas rien ne vaut la peine ici-bas
En silence en errance plus rien n’a de sens
J’pourrais te dire que ça va passer, que ça va s’arranger
Mais le meilleur restera bien derrière toi
Le temps détruit tout, tout sur son passage
Il t’enlèvera ce qu’il te reste d’humanité
L’humain n’est pas bon, l’humain tourne en rond
La solitude comme seul et unique horizon
Et cette flamme qui a cessé de briller
Toujours l’ennui qui s’abat comme la pluie
Ils Ont Tué Mes Rêves…
Si l’enfer c’est les autres, l’enfer c’est toi et moi
J’ai perdu ma foi, j’ai perdu ma croix
Fini la lumière plus de place aux artifices
Que notre part d’ombre sur des tombes
Nos rêves en pâture aux chiens du destin
J’attends la fin je ne vois plus le bien
Dans le noir boulevard de la démence
On marche sur les cendres de son enfance
Comme tout le monde tu y as cru l’espace d’un instant
Comme moi tu regardais la vie avec des yeux d’enfant
Le temps nous rend sauvage et noircit les pages
N’embellit pas l’histoire que reste-t’il dans ta mémoire
Une révolution perdue, une saison en enfer
Un amour fané qui n’a jamais refleuri
Une amitié trahie comme un serment maquillé
Une liberté brisée jamais retrouvée !
Ils Ont Tué Mes Rêves…
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11. |
Sans plus jamais
04:21
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Sans plus jamais
Tu sais qu’il en aura fallu du courage
Tu sais qu’il faudra encore se battre
Refuser cette vie qu’on t’avait dessinée
Ce petit mouton docile dans l’arène
On m’a dit qu’j’étais le problème
Plongé dans leur vie sans haleine
On m’a dit arrête de rêver mon p’tit gars
Moi j’entends l’appel qui brisera mes chaînes
Sans plus jamais se retourner
Sans plus jamais rester enfermé
Sans plus jamais subir
Sans plus jamais mourir
Assez qu’on me dise ce que j’ai à faire
Marre de devoir me résigner et subir
J’suis parti là-bas dans un coin d’ma tête
Penser par moi-même et avancer sans haine
Enfin vivre dans le silence des autres
Sauter dans le vide et ne plus revenir
Sur mon bateau cassé j’suis parti naviguer
Respirer sous les vagues de sa liberté
Sans plus jamais se retourner
Sans plus jamais rester enfermé
Sans plus jamais subir
Sans plus jamais mourir
J’suis allé partout où il y a de l’espoir
J’ai vu des sourires sous la pluie
J’ai touché des mains riches de partage
J’ai marché sans savoir où aller
Nos vies sont ailleurs mon frère
Sous les pavés il y a la mer
J’ai essayé de vivre dans le troupeau
Mais je n’ai pensé qu’à fuir
Si la liberté a un prix l’errance m’a tout appris
Dans le bateau de l’espoir l’horizon n’a pas de murs
Les rêves comme seuls crédits
Quelque part entre l’enfer et le paradis
Malgré quelques genoux à terre
On survivra à toutes nos guerres
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12. |
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COMME UNE ARME A LA MAIN
Assez ! assez ! assez !
Au pays des interdits, ils s’en prennent à mes frères, à mes sœurs à mes amis
Voudraient qu’on soit tous ennemis, plus de droits pour les démunis
L’étranger est la cible, la jeunesse n’est pas libre,
la télé a remplacé les livres et dans ton mp3, rien qui parle de toi…
Comme une arme dans la main, comme une balle dans la tête
Devenir dingue, on se flingue…
Les médias déforment et manipulent, l’égoïsme est la ligne à suivre
Ne pense plus qu’à la thune, leur coke a remplacée ta fume
C’est plus aime ton prochain, mais baise même un des tiens
Un sans-abri meurt sous ta fenêtre, n’oublie pas de tourner la tête…
Comme une arme dans la main, comme une balle dans la tête
Devenir dingue, on se flingue…
Assez ! assez ! assez ! assez !
Plus de place pour la défaite, « winner » est gravé dans toutes les têtes
Mais les coeurs sont vides, la rivière est aride
La culture est médiocre, on se gave de médocs
Les femmes ne veulent plus de rides et les mecs prennent du bide !
assez !
où est la bohème ? où sont les poèmes ? qui marche encore à contre-sens ?
Pour qu’ensemble le peuple danse, pour que la lune ne soit jamais à vendre
M’asseoir 5min sur un banc, hey Jeff t’es pas tout seul
Suivre mon ch’min de petit bonhomme
avec le temps va tout s’en va
tout va tout va bien
tout va tout va bien
tout va tout va bien
tout va tout va bien
Comme une arme dans la main, comme une balle dans la tête
Devenir dingue, on se flingue…
On devient dingue…
On se flingue…
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13. |
Ma musique!
03:48
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MA MUSIQUE !
Ma Vie, Ma Famille, Mes Amis
Que serait ma vie sans toi
Si je n’ t’avais pas rencontrée
Tout en restant en enfer
Tu m’as emmené plus loin qu’le paradis
Tu m’as tout donné tout apporté
T’es ma liberté mon identité
Avec toi c’est tout ou rien
Tu guides mon chemin !
Tu fais raisonner les cris des miens
T’es de l’or pour ceux qui n’ont rien
Tu nous as tous aidés
Libres ou emprisonnés
Tu es mon miroir, ma mémoire
Ma passion mon heure de gloire
Pour toi j’irai jusqu’au bout
N’importe où, toujours debout !
Quand je n’serai plus que l’ombre de toi
C’est tout ce qu’il restera de moi
J’irai t’écouter vers d’autres cieux
Tu seras plus classe que n’importe quel dieu
Tu seras mon âme, tu seras mon feu
Avec toi sur terre j’étais toujours deux
Tu étais ma vie, tu étais mes refrains
Mon éternité, tu es mon destin !
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14. |
Des roses et des pierres
03:25
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DES ROSES ET DES PIERRES
Des roses et des pierres au fond de mes poches
Des roses et des pierres demain m’appartient !
Des roses et des pierres dans chacune de mes mains
Des roses et des pierres …
Etre né ici entre la misère de la vie
Sur un mur gris s’abattait l’ennui
Perdre ses illusions dans cette étrange fosse aux lions
A grandir trop vite l’enfance prend la fuite !
Mais se lever et avancer sans se soucier
De perdre ou de gagner tête baissée, se détourner
Courir vers la liberté, fuir la réalité
Celle où d’autres ont renoncé
Où tu ne voudrais pas crever
Des roses et des pierres au fond de mes poches
Des roses et des pierres demain m’appartient !
Des roses et des pierres dans chacune de mes mains
Des roses et des pierres des roses et des pierres…
Nomade comme l’espoir briseras-tu le miroir
Dans l’errance l’insouciance plus de souffrance
Une place, un endroit, pour toi et moi
Plus jamais se retourner, les yeux ouverts les poings fermés
L’amour et l’amitié au coin de trois fois rien
Une seule richesse, la route de la sagesse
Au creux des mains du destin les sourires de demain
Le battement de la gratitude au rythme de ta solitude
Des roses et des pierres Au fond de mes poches
Des roses et des pierres demain m’appartient !
Des roses et des pierres dans chacune de mes mains
Des roses et des pierres des roses et des pierres…
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15. |
Un Rôle
02:49
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UN RÔLE
Ici c’est pas chacun pour soi
Dans nos vies on fait des choix
On est là ensemble pour avancer
Pour partager, pour se libérer
Assez de ne pas être pris au sérieux
Assez de croire qu’on est hors-jeu
Chacun a son propre livre à écrire
Son chemin à parcourir, son mot à dire
Un rôle à jouer, des dés à lancer
Une carte à tirer, une vie sans perdre ni gagner
Un rôle à jouer, des dés à lancer
Une carte à tirer, une vie sans perdre ni gagner
Même si c’est pas toujours facile
Et si proche de l’amour il y a la haine
Proche de la vie il y a la mort
Dans le malheur personne n’est le plus fort
Mais dans nos rêves lointains y a nos illusions
Oh mes camarades, oh mes compagnons
On a encore tant de choses à réinventer
Dans la fraternité allons respirer
Un rôle à jouer, des dés à lancer
Une carte à tirer, une vie sans perdre ni gagner
Un rôle à jouer, des dés à lancer
Une carte à tirer, une vie sans perdre ni gagner
Et s'ils veulent nous diviser, nous enfermer, nous condamner
Viendra encore un autre fou, viendra encore un autre loup
La rage ne se met pas en cage, l’espoir ne prend pas le large
On tournera encore les pages, l’histoire de ces vies en marge
…en marge
…son mot à dire
… allons respirer
… en marge
Un rôle à jouer, des dés à lancer
Une carte à tirer, une vie sans perdre ni gagner
Un rôle à jouer, des dés à lancer
Une carte à tirer, une vie sans perdre ni gagner
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16. |
Même pas mort!
05:50
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MÊME PAS MORT
Encore un son encore une feuille de papier
Remplie de désespoir, guidée par de bonnes ou de mauvaises histoires
De rêves brisés ou de soirées à s’envoler,
Tu sais que toi et moi on n’a jamais eu trop le choix
A fleur de peau le couteau entre les dents
Les poings serrés et la haine dans le cœur
Une enfance à la dérive sur l’autre rive
Arrivé en colère à l’aube de son adolescence
Incontrôlable, inconsolable, indomptable
Envie de tout détruire et surtout de rien construire
Le manque d’amour t’as mis à l’écart, hagard,
Tu seras en marge, tu seras la peur sur leurs visages
Sans connaître le bien tu exulteras dans le mal
Merci au père absent, merci Satan
Et puis fuck la vie, fuck le paradis,
Tout ça c’est du pipeau, c’est des conneries
MÊME PAS MORT ce son dans ma tête !
MÊME PAS MORT rien ne m’arrête !
MÊME PAS MORT même pas mort !
Un soir vient l’alcool, sur un trottoir,
Puis les drogues sur le trottoir d’en face
Ils resteront sur ta route sur ton chemin
Dans tes pensées, dans tes journées, dans tes soirées
C’est ton espoir et c’est ton cauchemar
Ton pansement ta plaie, ton cache-misère
Tu y as croisé une sœur, un frère une revanche
Dans d’étranges voyages, dans d’étranges souffrance
A 300 km sur nos autoroutes, sans panneaux, sans sorties, sans ceinture, sans avenir
Et si demain t’appartient pas et si demain c’est rien,
Ce sera 100% tête baissée, 200% dans les embrouilles
Mais toujours plus vite et toujours plus fort
Jamais de limites, jamais peur de rien
Ou peut-être juste la peur du lendemain
N’avoir que la haine dans le cœur et dans les mains
MÊME PAS MORT ce son dans ma tête !
MÊME PAS MORT rien ne m’arrête !
MÊME PAS MORT même pas mort !
A l’école ils t’ont jamais accepté, intégré
Alors les études tu les as désintégrées de tes journées
T’iras jamais bosser, tu seras jamais commandé
Tu es ton propre chef, tu es ton propre juge
Ils nous ont laissés seuls sur le chemin,
Et ils voudraient qu’on sache faire le bien
Toi tu sais qu’aboyer et te barrer
Danser avec la mort te tatouer et te saouler
Tu sais surtout qu’il y a les riches de l’autre côté là-bas
Qu’il y a leurs flics, leurs familles et leurs biens
Leurs lois, leur Etat, leurs prisons, leurs religions
Leur bonne conscience et leur bienveillance
Mais nous il nous reste les bas-fonds,
Notre vie parallèle et nos sombres ruelles
Nos bars nos concerts, nos amis, nos princesses,
Nos gonzesses, nos fous, notre folie, notre énergie
MÊME PAS MORT ce son dans ma tête !
MÊME PAS MORT rien ne m’arrête !
MÊME PAS MORT même pas mort !
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